Anatomie d’un shôjo : Les magical girls

Anatomie d'un shôjo : les magical girls

En ce troisième jour de la Semaine du Shôjo, intéressons-nous à une catégorie d’héroïnes particulières : les magical girls de shôjo.

Quelques années auparavant, nous avions dressé le portrait type de l’héroïne de shôjo. 4 modèles principaux avaient émergé de nos réflexions, dont la magical girl.

Aujourd’hui, l’occasion nous est donnée de creuser davantage le sujet. Bien entendu, nous ne nous voulons pas exhaustives, tant il y a à dire sur ces personnages et leur univers si spécifique. Ainsi, Soko, Naoko et moi (Nico) te proposons de partir en terres magiques à la chasse aux magical girls de shôjo.

Emi magique bulles

On les entend arriver, dans un bruit synthétique de tintement et de grelots, dans le tremblement de touches de pianos, leurs rubans colorés flottant dans le vent comme leurs mèches de cheveux et leurs yeux brillants. Elles volent, elles flottent ! Les magical girls ! On les reconnaitrait entre mille… Enfin, sauf quand elles sont dans leurs uniformes scolaires, leur identité d’héroïne surprenante pour tous sauf toi, lecteur ! Cette magical girl, comment la reconnaîs-tu ?

Les magical girls : des personnages hauts en couleurs

Les magical girls, une affaire de gamines ! 

La magical girl est souvent une écolière ou une collégienne ordinaire qui se voit accorder un grand pouvoir. Sa tenue d’écolière est presque aussi culte que son costume ! Entre l’enfance et l’adolescence, elle expérimente alors la vie, sa beauté et sa noirceur au rythme des saisons. En défiant les limites du magique et de l’ordinaire, elle nous montre un chemin pour grandir, accepter ses sentiments et faire de ce monde un endroit plus coloré !

En effet, chaque héroïne de la franchise Precure et ses amies sont des humaines comme les autres, elles vont en cours comme tout le monde. Elles ont leurs préoccupations de jeunes filles… À ceci près qu’elles disposent de pouvoirs magiques.

La protagoniste de Kamikaze Kaitô Jeanne est également une demoiselle tout ce qu’il y a de plus classique au premier abord.

Toutes ne sont pas forcément humaines. Malgré leur apparence proche de la nôtre, certaines cachent des origines surnaturelles. On peut ainsi trouver des sorcières ou encore des sirènes. Les héroïnes de Chocola et Vanilla ainsi que celles de Mermaid Melody forment de très bons exemples.

Quoiqu’il en soit, humaine ou créatures magiques de naissance, elles se rejoignent sur un point : leur jeunesse associée à un visage poupon trop mignon. D’apparence, on ne leur donne pas plus de 18 ans, tout au moins dans leur version normale.

Si certaines sont si idéalistes, c’est peut-être grâce à ce si jeune âge qui leur offre une sensibilité et un espoir imperturbables. On donne rarement autant de force à l’enthousiasme pétillant de ces jeunes filles. Plutôt cool, non ?

La bande de Doremi Magique

Just girly things 

On a toutes et tous le souvenir d’une magical girl en tête. Il faut dire qu’elles ne manquent pas de style. Affichant des couleurs de cheveux colorées, elles sont pimpantes une fois affublées de leurs plus beaux costumes. 

Car être une magical girl, c’est tout un art ! Semblant sortir de nulle part, leur tenue magique se base sur des tissus soyeux et scintillants, agrémentés d’accessoires en dentelles, en perles et des corsages à rubans. Sauf Sakura qui revêt les créations de la talentueuse Tomoyo. Nous en reparlerons en fin d’article dans un point spécifique.

Aujourd’hui encore, on jalouse leurs fringues et leur manucure on point !

Elles empruntent leur style vestimentaire aux marins, sirènes, danseuses étoiles et même aux lycéennes. Toutes ces influences leur offrent une apparence très spéciale… Un peu comme si une sorcière s’était habillée dans le dressing d’une princesse alien.

Après tout, que serait une magical girl sans ses gants ou ses petites bottines assorties à ses vêtements ? Par exemple, dans Tokyo Mew Mew, Ichigo porte des gants rouges, se retrouve avec des oreilles et une queue de chat, affublée d’un grelot au bout.

La surenchère d’accessoires ne s’arrête pas au vêtement en lui-même, ils parent la magical girl des pieds à la tête. Petits nœuds, bijoux, capes, chapeaux, tiares… : tout est bienvenu pour pimper sa tenue et la distinguer encore plus des autres jeunes demoiselles.

Même en uniforme, on se démarque, la grande magie des accessoires !

Ce qui fait de la magical girl une héroïne si spéciale, c’est aussi sa capacité à allier sa sensibilité propre représentée par son style unique dans ses combats personnels !

Lorsqu’elles sont en groupe, elles sont souvent associées à une couleur, un élément, un signe, une planète, un animal qui aident à définir les traits saillants de leur personnalité, à les distinguer ou à faire tenir le propos de l’œuvre. Par exemple, les Mew Mew qui sont portées par des aspirations écologistes ont pour animal-totem une espèce en voie d’extinction.

Pour Doremi de la franchise éponyme, le rose est sa couleur symbole. Représentée en camaïeu, on la retrouve de ses vêtements à sa chevelure, en passant par ses pupilles. Quant à Onpu (aka Loulou), c’est le violet qui la caractérise.

En associant des couleurs coordonnées, on crée un arc-en-ciel. C’est alors une véritable cohésion de groupe qui s’opère, car elles sont un projet commun : protéger ces valeurs qui leurs sont si chères. Les magical girls réussissent à dessiner les contours d’une identité exceptionnelle.

C’est une ode à l’amour de soi et à l’originalité, et si on ne compte pas les héroïnes, quelques héros se sont également glissés par là. Ça reste pour autant une activité très féminine, et c’est pas pour nous déplaire !

Et les magical boys dans tout ça ?

Leur présence est davantage anecdotique même si l’on peut citer les jeunes personnages de Shugo chara, aka Tadase, Ikuto ou encore Kûkai. Ils possèdent les mêmes caractéristiques que leurs pendants féminins : costumes, transformations, accessoires, etc.

En revanche, lorsque les garçons prennent le lead, cela donne aussi des parodies comme Magical girl boy. Saki, qui est à la base une fille, se transforme en garçon lorsqu’elle prend sa forme de magical girl. C’est alors l’occasion de reprendre l’ensemble des codes du genre pour mieux les amplifier et rendre les situations plus drôles les unes que les autres voire ridicules.

Des magical girls ?

Si être en groupe n’est pas un passage obligé, la magical girl fonctionne tout aussi bien en bande !

Le cultissime café Mew Mew !

Souvent nous suivons l’héroïne de l’histoire, la meneuse, la fille la plus enthousiaste dont la naïveté et la maladresse sont sauvées par son courage et sa bienveillance. Ce sont ses qualités merveilleuses qui lui permettent de s’entourer de personnages tout aussi attachants les uns que les autres, pour se réunir dans leur QG fantastique (ou le café du coin) afin de planifier leurs prochaines missions après les cours. Car concilier la totalité de son agenda – et celui de leurs ennemis – c’est ce à quoi les magical girls sont les plus douées !

Il faut savoir garder le secret de leurs identités, réussir ses examens et trouver le temps d’avouer ses sentiments à l’élu de son cœur… Sauver le monde, parfois, c’est juste faire du mieux qu’on peut près de chez soi !

La magical girl peut tout à fait opérer de manière solitaire. Les œuvres récentes s’inscrivent beaucoup moins dans cette configuration mais on peut notamment citer Mitsuki de Full Moon – A la recherche de la pleine lune. Sous sa forme magique, elle devient alors la chanteuse Full Moon, une jolie blonde, qui nous ravit de ses mélodies.

En groupe ou solo, la magical girl n’est jamais vraiment seule. Nous te parleront plus tard de sa mascotte, mais c’est sans compter son incroyable réseau d’amis, d’alliés, d’ennemis qu’elle peut mobiliser à chaque instant et qui sont toujours prêts à les aider dans leurs capacités et les guider dans leurs parcours vers le bien.

On peut d’ailleurs dresser des archétypes rapides de ces filles adorables et branchées !

  • Bien sûr, notre héroïne : elle qui si éloquente et apte au combat, redevient étourdie quand disparaisse ses pouvoirs.
  • La fille sérieuse et responsable, peut-être un peu snob !
  • La célébrité, froide et placide, ou au contraire pleine de fougue et de vigueur !
  • La « petite sœur », qui prendra plaisir à faire des bêtises ou à dire des choses qu’elle ne devrait pas et qui sera maternée par toutes les autres.
  • La binoclarde rat-de-bibliothèque, première de la classe ou carrément intimidée.
  • La « grande sœur », qui apparaitra si cool et mature auprès des autres, mais qui saura prendre soin d’elles et apprécier leur compagnie. 

Car si quelquefois leurs relations sont compliquées, les magical girls : c’est aussi le temple sacré de la sororité !

La transformation : une étape essentielle

S’il y a bien un élément primordial à quasiment chaque magical girl et qui permet de la reconnaître parmi les autres héroïnes, ce sont bien ses scènes de transformation. Certaines sont maintenant devenues cultes. Qui ne connaît pas la formule « Pouvoir du prisme lunaire, transforme-moi » scandée par Sailor Moon, la jeune héroïne du manga de Naoko Takeuchi ? (Note de Naoko : Non mon pseudo ne vient pas de là !!!)

La transformation, c’est tout un ensemble d’étapes assez codifiées :

  1. L’incantation et/ou un objet magique se met à briller, permettant d’activer le phénomène de métamorphose.
  2. Le décor peut se modifier avec le corps de la jeune fille qui devient “transparent” comme dans Sailor Moon.
  3. Le costume s’ajoute, avec l’ensemble de ses accessoires.
  4. Le corps de la jeune magical girl se modifie pour parfois prendre une apparence plus adulte.
  5. La pose magical girl à la fin.

Dans les animes, cela donne des scènes d’anthologie qui continuent à nous marquer des années après, notamment grâce à une musique entraînante et des effets de toutes parts.

Certaines métamorphoses sont plus sobres mais il n’empêche qu’elles restent souvent un élément mis en exergue par les auteurs et autrices. Il peut y avoir une version abrégée, l’essentiel restant conservé.

Un environnement richement construit

Mascottes et familiers : des guides au service de la magical girl

Un autre élément extrêmement important dans les magical girls, tellement primordial qu’on le retrouve dans chaque œuvre ou presque, c’est la mascotte qui donne des pouvoirs à l’héroïne. On en a bien sûr l’image d’une créature mignonne, à la voix aiguë, et qui vient d’un autre monde pour aller chercher une jeune fille japonaise qui pourrait l’aider à sauver le monde. Mais ce n’est pas toujours aussi simple car, en soi, si cette mascotte est plutôt souvent sur ce modèle, elle peut également correspondre à énormément de choses.

Pour l’expliquer, évoquons certaines d’entre elles – loin du cliché du genre – en commençant par les plus surprenantes : les deux mascottes de Yes!Precure 5, Coco et Nuts. Elles sont capables de se transformer en humains. De très beaux garçons de surcroît ! L’un d’entre eux, Coco, a même une histoire d’amour avec la principale magical girl du groupe, Nozomi. Il y aurait beaucoup de choses à dire sur cette excellente série : ce sera pour une autre occasion. Mais c’est certainement la première fois qu’on voit une mascotte devenir le love interest de l’une des héroïnes.

Dans un registre plus classique – quoique – on pourrait parler de celle du manga et anime préféré de Naoko :  Keroberos, dit Kero dans Card Captor Sakura. Son nom est la transcription japonaise de Cerberus. Kero a la particularité, de son côté, de reprendre sa vraie forme quand Sakura a assez de puissance. Et il est totalement de notre dimension, ayant été créé par un magicien de notre monde.

On a aussi les Chara de Shugo Chara qui viennent, eux, du cœur des enfants. Car les Chara ont une portée très symbolique. Ils sont une représentation de leurs rêves pour l’avenir. Par exemple, si tu veux devenir agent de collecte des impôts, ton Chara sera un petit agent collecteur des impôts qui, s’il sort de ton cœur, fera pression sur chaque personne pour qu’elle paie ses impôts. Chaque transformation des magical girls et magical boys du manga est d’ailleurs entièrement liée à leurs rêves, l’héroïne en possédant trois donc ayant trois rêves sur lesquels elle hésite.

En dernier exemple de mascottes qui ne correspondent pas totalement à ce modèle connu, on a bien entendu Sailor Moon, magical girl extrêmement connue, et sa chatte Luna. Luna est la mascotte du manga mais également littéralement un chat identique à ceux de notre monde. À part quelques détails comme la lune sur son front, elle ne vient ni d’un autre monde ni exactement du nôtre, puisqu’elle est originaire d’une autre planète. On peut dire que c’est vraiment différent de l’idée qu’on se fait d’une mascotte.

Quant à Tokyo Mew Mew, il n’y a carrément pas de mascottes, seulement deux humains avec un projet de sauver la Terre des aliens.

Des objets magiques en veux-tu en voilà

En plus d’une éventuelle mascotte, la magical girl s’accompagne d’un ou plusieurs objets magiques.

Ils peuvent soit l’aider à canaliser son pouvoir et le répercuter sur l’ennemi. Soit, ils aident à déclencher sa transformation.

Leur forme est diverse, allant de la baguette magique au sceptre pour les plus classiques. Mais il en existe de plus originaux, comme celui qu’utilise Amu. Son Humpty Lock est en réalité un cadenas. Il lui permet de fusionner avec l’un de ses Chara, créant ainsi un chara-nari, ce qui lui octroie davantage de pouvoirs que lors d’un changement de caractère.

Les mignonnes héroïnes de Doremi Magique utilisent une console magique, leur offrant la possibilité de se changer en sorcières.

La console magique dans Doremi Magique

Des univers variés et des missions adaptées

Bien que certaines magical girls puissent venir de mondes totalement lointains de notre réalité, le lien avec un univers sensiblement identique au nôtre se fait par l’intermédiaire de la mission qui leur a été confiée.

Les magical girls qui ont des origines surnaturelles vivent au départ dans leur monde (royaume magique) et viennent s’intégrer au nôtre pour accomplir leur tâche – davantage liée à un gain d’expérience dans leur vie. Cela s’apparente d’ailleurs plus à un rite de passage. Ou alors, il s’agit de faire en sorte de contenir l’équilibre entre le bien et le mal, pour empêcher ce dernier de se répandre.

sorcières chocola et vanilla

Les sorcières Chocola et Vanilla dans leur monde

C’est par exemple le cas des deux jeunes sorcières Chocola et Vanilla qui doivent récupérer des cœurs leur permettant de devenir, pour l’une d’entre elles, reine de leur monde. Pour ce faire, elles sont envoyées dans notre réalité. En parallèle, elles doivent faire face à des ennemis qui souhaitent nuire à leurs nouveaux camarades.

De leur côté, les sirènes de Mermaid Melody résident au fond de l’océan, cohabitant ainsi avec les humains mais ne les fréquentant pas spécialement, jusqu’à ce qu’un incident les y pousse. En effet, Lucia se voit confier la tâche de récupérer sa perle et doit pour cela intégrer la terre ferme.

sailor moon personnages

Les héroïnes de Sailor Moon avec la ville de Tokyo en toile de fond

Quand les magical girls sont humaines, l’univers dans lequel elles évoluent correspond à un Japon plutôt contemporain, datant de l’époque du scénario. Elles utilisent les moyens technologiques mis à leur disposition, s’ancrant dans un quotidien qui nous ressemble. Ces jeunes filles mènent alors une double vie : étudiantes (écolières, collégiennes, etc.) aux yeux de tous et défenderesses du bien dans l’ombre.

Ainsi, nous côtoyons Usagi de Sailor Moon dans son quotidien comme lorsqu’elle fait les boutiques avec ses amies. Ces scènes banales donnent fréquemment lieu à des événements obligeant l’héroïne à intervenir par le biais de ses pouvoirs. Mais attention à ne pas se faire découvrir…

Card Captor Sakura, un cas particulier de magical girl

Ici Naoko ! J’ai déjà dû le dire un nombre incalculable de fois, je l’ai même répété plus haut, mais Card Captor Sakura est mon manga et anime préféré. J’ai vraiment un amour extrêmement profond pour cette série qui a littéralement changé ma vie. Évidemment je ne pouvais pas passer à côté de l’occasion d’expliquer en détails ce qui peut différencier Card Captor Sakura des autres séries de magical girls. Non non, impossible ! Je ne le permettrai pas !

Cardcaptor Sakura

Sakura chasse les cartes !

L’élément le plus évident qui différencie Sakura des autres magicals girls, c’est l’absence de transformation. En effet Sakura a bien des tenues spéciales qu’elle porte lors de ses missions, mais :

  • premièrement, ce n’est jamais la même ,
  • deuxièmement, elles sont toutes créées par sa meilleure amie Tomoyo.

Sakura n’a vraiment aucune transformation elle-même : la seule chose qui change lorsqu’elle attrape une carte c’est son sceptre.

Par ailleurs, le concept même de la série implique une autre différence avec les autres magical girls, quelque chose que je n’ai remarqué chez aucune autre d’entre elles. À chaque épisode (et chaque chapitre), Sakura obtient du pouvoir car elle attrape les cartes qui lui servent plus tard pour en attraper d’autres et donc devient plus puissante à chaque fois.

Ensuite, si certaines séries incluent des magical boys, il me semble bien que Card Captor Sakura est la seule ayant un magical boy servant d’abord de rival en amour et dans la chasse aux cartes avant de devenir son intérêt amoureux. Certaines séries font un ennemi qui développe un intérêt amoureux pour l’héroïne, comme Tokyo Mew Mew ou Shugo Chara. Mais dans Card Captor Sakura, Shaolan est un allié qui se trouve juste être son rival au tout début.

Et bien sûr, comment ne pas parler de l’aspect LGBT de la série avec un garçon attiré par un autre sans que ce soit questionné, et deux garçons qui finissent implicitement ensemble à la fin ? Tellement implicite en fait que certaines personnes ont été surprises quand elles se sont rendues compte qu’ils étaient clairement en couple dans Clear Card.

Tout au long de cet article, nous nous sommes intéressées aux magical girls, à travers des personnages hauts en couleurs mais aussi un univers richement organisé. Néanmoins, le genre magical girls n’étant pas l’apanage du shôjo, quelles sont ses particularités dans les autres catégories cibles ? L’aspect sombre de certains récits comme Puella Magi Madoka Magica permet d’envisager les choses sous un angle différent avec entre autres sa « mascotte » si spéciale…

Audrey

Véritable cœur d'artichaut, je suis friande de romances poignantes. Plus une série me fait pleurer, plus je l'aime !

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4 commentaire

  1. N’hésitez pas à écouter le podcast : https://podcast.ausha.co/les-podcasts-des-utopiales-2021/utopiales-2021-magical-girl-se-transformer-pour-mieux-grandir 😉
    Il a été enregistré lors d’une conférence donnée lors des dernières Utopiales. J’avais réussi à y assister et elle explique et résume bien le magical girl en revenant sur les origines du magical girl 🙂

  2. N’hésitez pas à écouter le podcast : https://tinyurl.com/mvbnfpv3 😉
    Il a été enregistré lors d’une conférence donnée lors des dernières Utopiales. J’avais réussi à y assister et elle explique et résume bien le magical girl en revenant sur les origines du magical girl 🙂

    1. Merci beaucoup pour le podcast ! ^^ J’irai l’écouter à l’occasion !
      C’est vrai que dans notre article nous nous sommes plutôt concentrées sur les caractéristiques des magical girls. Mais un jour peut-être nous pourrions en développer davantage sur leur histoire. 😀

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