La Semaine du Shôjo 2020 bat son plein ! Pour cette édition, nous te proposons de découvrir l’événement interblogueur organisé cette année. L’objectif est de confronter l’avis de plusieurs blogueurs sur un thème commun. Tu peux retrouver l’opinion de tous nos participants en fin d’article et n’hésite pas à donner la tienne en la partageant en commentaire.
Cette année, il s’agit de répondre au sujet suivant : « Quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ? ». Dans ce billet collaboratif, avec Nico, Mikki et moi-même (Luthien), nous avons sélectionné plusieurs shôjo nous paraissant adaptés pour débuter dans cet univers selon les tranches d’âge.
En nous emparant de cette question, nous nous sommes demandées comment l’aborder. Allait-on choisir un ou deux titres par rédactrice ou procéder à une sélection différente ? C’est là où l’idée de proposer des séries par tranche d’âge s’est imposée. Après, en fonction de notre vécu nous n’avons pas les mêmes attentes ni ne sommes attiré(e)s par les mêmes choses. Cela ne signifie pas que si l’on a dépassé la tranche d’âge que nous évoquons, il n’est pas possible de lire le manga en question. Nous avons voulu, pour chacune d’elles, présenter les séries qui seraient susceptibles d’intéresser le public visé.
L’autre contrainte que nous nous sommes fixées, c’est de rester sur des shôjo licenciés en français, qu’ils soient trouvables dans nos librairies ou pouvant être empruntés en bibliothèque. Exit donc les sorties à venir et autres titres inédits dans nos contrées francophones.
Sans plus tarder, découvre notre sélection de 10 shôjo mangas que nous pourrions conseiller à un débutant ou quelqu’un qui souhaite entrer dans cette aventure fabuleuse.
Notre sélection
Enfants (- de 10 ans)
Card captor Sakura (CLAMP)
De quoi ça parle ?
Sakura est une fillette de 12 ans qui vit avec son père et son grand frère. Sa mère est morte quand elle était petite. Un jour, en rentrant de l’école, elle entend un bruit dans la bibliothèque de son père. La curiosité l’a saisie et elle décide d’aller voir ce qui provoque ce bruit. Il provient d’un livre très spécial : le livre de Clow, dont son contenu s’échappe soudainement lorsqu’elle le prend. À partir de ce moment, Sakura découvre qu’elle possède des pouvoirs et qu’elle sera chargée de retrouver toutes les cartes magiques qui étaient contenues dans le livre… (Source : Carolus)Pourquoi ce choix ?
Card Captor Sakura, c’est du kawaii, de l’humour, de l’amitié et des jolies tenues. Le pitch est simple, parfait pour les enfants. On suit Sakura dans son quotidien, entre école et aventures dans le Tokyo magique. CLAMP réalise un coup de maître, en remettant la magical girl sur le devant de la scène. Léger bémol : des relations parfois ambiguës entre des personnages, qui, si elles étaient réelles, tomberaient sous le coup de la loi. CLAMP met toutefois en valeur l’univers, magique, et plein de promesses : il faut croire en ses rêves, faire de son mieux, et compter sur ses amis !
Chocola & Vanilla (Moyoko Anno)
De quoi ça parle ?
Chocola et Vanilla sont deux sorcières. Elles quittent leur monde magique pour se rendre sur Terre dans un seul but : rivaliser afin de savoir laquelle des deux mérite d’être reine. Elles doivent récolter les cœurs d’un maximum de garçons afin de gagner suffisamment de cordis pour améliorer leur baguette. Même si elles s’affrontent, elles s’épaulent et restent amies, du moins jusqu’à ce que Chocola tombe sous le charme du beau Pierre… A partir de là tout bascule, des vérités surgissent et elles se voient obligées de faire des choix décisifs pour leur futur. Leur plus grande difficulté va être de respecter une promesse qu’elles se sont faites au début de leur aventure : « Quelle que soit la reine, on restera toujours amies. »Pourquoi ce choix ?
Chocola & Vanilla est un shôjo tout mignon (par ses dessins) qui plaira aux plus jeunes lecteurs d’entre nous. L’univers magique que nous propose Moyoco Anno est délicieux à souhait, avec toutes ces références aux gourmandises : chocolat, vanille, cannelle, etc. De quoi faire saliver les papilles !
De plus, ce manga parle aussi très bien d’amitié et rivalité entre filles. Son duo d’héroïnes est tout à fait explosif, chacune ayant son propre caractère bien marqué. Les aventures de ces deux sorcières sont palpitantes et l’histoire ne leur laisse que très rarement de répit.
Adolescents (12-18 ans)
Lovely Complex (Aya Nakahara)
De quoi ça parle ?
Risa Koizumi, une lycéenne de 1.70m désespère de se trouver un petit ami, ce qui est également le cas de son compère Atsushi Ootani 1,59m, qui aimerait bien avoir une petite amie. Les deux personnages vont se lier d’amitié, malgré leur complexe de taille, et s’allier, afin que chacun d’eux trouve un compagnon, de là va alors naitre une relation très forte, de l’amitié apparemment, mais pour combien de temps ? (Source : Shakotte)Pourquoi ce choix ?
Lovely Complex est l’une de mes séries humoristiques de référence ! Les deux protagonistes forment un duo comique formidable et leurs amis qui évoluent autour d’eux apportent aussi une touche d’humour. Cependant, le manga n’est pas que drôle, il est aussi très touchant. Que ce soit les relations d’amour ou d’amitié, elles sont attendrissantes à suivre. Les illustrations sont superbes et les situations comiques sont finement rendues, notamment avec des têtes très drôles.
Fruits Basket (Natsuki Takaya)
De quoi ça parle ?
Tohru, mignonne et courageuse lycéenne, vivait sous une tente dans les bois. Recueillie pour ses talents en matière de travaux ménagers par la famille de Yuki Sôma, un de ses camarades de classe, Tohru vit maintenant entourée de garçons dans une grande maison. Mais ce qu'elle ignore, c'est que la famille Sôma est victime d'une malédiction secrête. Certains de ses membres se transforment, dans des circonstances particulières, en un des douzes animaux du zodiaque chinois ! Avec d'aussi étranges personnages, la nouvelle vie de Tohru va lui réserver de nombreuses surprises. (Source : Delcourt)Pourquoi ce choix ?
Fruits Basket est un shôjo assez classique mais qui reste indémodable. L’histoire est originale en mettant en scène des humains atteints d’une malédiction et qui se transforment en animaux du zodiaque chinois lorsqu’ils sont enlacés par une personne du sexe opposé. L’intrigue est parfaitement menée jusqu’au bout et apporte son lot de surprises. Les personnages sont très nombreux. S’il est vrai que la plupart possèdent une histoire triste et souffrent, ils n’aspirent qu’au bonheur et l’optimisme de Tohru sera crucial pour eux. Malgré les aléas de la vie, elle se montre souriante et leur permettra d’aller de l’avant. Cette vaste galerie de personnages permet de présenter plein de personnalités différentes et il est ainsi facile d’en trouver qui nous plaisent. Fruits Basket présente un univers doux malgré des thèmes durs, notamment grâce à l’espoir insufflé par l’amitié et les traits délicats des dessins.
@Ellie (Fujimomo)
De quoi ça parle ?
Eriko est une lycéenne discrète que l’on ne remarque pas. Son seul plaisir est d’admirer Akira Ômi, un beau jeune homme plein de fraîcheur, et de tweeter ses fantasmes quotidiens sur Internet sous le pseudo « Ellie ». Mais, un jour, elle découvre par hasard la vraie nature d’Ômi. Et ce dernier prend connaissance des tweets embarrassants d’Ellie…!! (Source : Kana)Pourquoi ce choix ?
Certes, @Ellie c’est un peu l’archétype de la romance lycéenne classique. Cependant, à l’heure des réseaux sociaux, ce manga se veut complètement ancré dans son temps grâce à l’entremise de Twitter dans certains aspects de l’intrigue. L’héroïne est une perverse qui s’assume – en tout cas virtuellement. Elle dit tout au haut ce que l’on pense tout bas, surtout en ce qui concerne les fantasmes que l’on peut se faire lorsque son crush nous a regardé 2 millisecondes. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a l’imagination très fertile !
L’autre point fort c’est la relation saine que bâtissent nos deux personnages principaux. Ils sont dans le respect l’un de l’autre, et le jeune Ômi veille à se montrer à l’écoute et bienveillant envers l’héroïne. À cela on ajoute une comédie finement dosée, qui saura te faire esquisser un sourire assez fréquemment.
Yona – Princesse de l’aube (Mizuho Kusanagi)
De quoi ça parle ?
Yona, la jeune et insouciante princesse du royaume de Kôka, mène une vie de rêve choyée par le roi et protégée par son garde du corps et ami d’enfance, le puissant guerrier, Hak. Elle rêve de pouvoir unir sa vie à Soo-Won, son cousin dont elle est secrètement amoureuse. À l’approche de ses 16 ans, tous se préparent à fêter comme il se doit son anniversaire. Mais ce soir-là, une terrible tragédie survient et la vie de Yona va être bouleversée à jamais ! (Source : Pika)Pourquoi ce choix ?
Si les romcom c’est pas ton truc, pourquoi ne pas tenter un shôjo d’aventure avec Yona – Princesse de l’aube ? Dans ce manga, tu y trouveras des complots, des combats ainsi que de la géopolitique. Mais il n’y a pas que ça ! L’héroïne passe d’un statut de princesse gâtée et choyée à celui de jeune fille pourchassée, dont la vie est sérieusement menacée. Si au départ, son caractère capricieux fait craindre le pire, elle nous montre rapidement les ressources dont elle fait preuve. L’adversité lui donne du courage ainsi que l’envie de mieux connaître son pays.
Le tout est servi par d’autres personnages très intéressants, que l’auteure pense à développer au moment opportun. Chacun a droit à sa part de lumière.
Jeunes adultes (19 ans et +)
Chihayafuru (Yuki Suetsugu)
De quoi ça parle ?
En sixième, la petite Chihaya fait la connaissance d'Arata, un nouvel élève qui vient de Fukui. C'est un jeune garçon mature et peu bavard qui cache un talent tout particulier : il excelle à un jeu appelé karuta, qui regroupe les cent poèmes traditionnels du Hyakunin Isshu. Chihaya est très impressionnée par sa capacité à ramasser les bonnes cartes en une fraction de seconde, avec une ardeur inégalée. Mais de son côté, Arata est cloué sur place par la disposition naturelle que semble présenter Chihaya vis-à-vis de ce jeu… (Source : Pika)Pourquoi ce choix ?
Impossible de ne pas être passionné par le karuta en lisant ce manga ! Apprendre les poèmes et à jouer à ce sport deviendra ton objectif dès que tu auras fini le premier tome ! Chihayafuru est un manga tranche-de-vie passionnant où le lecteur suit l’évolution de nombreux personnages dévouant leur vie au karuta. Les entraînements et les compétitions sont autant de moments où les protagonistes peuvent vivre leur rêve. Le manga aborde aussi des instants plus familiers comme des cours ou des sorties scolaires.
Orange (Ichigo Takano)
De quoi ça parle ?
Un matin, alors qu'elle se rend au lycée, Naho reçoit une drôle de lettre… une lettre du futur ! La jeune femme qu'elle est devenue dix ans plus tard, rongée par de nombreux remords, souhaite aider celle qu'elle était autrefois à ne pas faire les mêmes erreurs qu'elle. Aussi, elle a décrit, dans un long courrier, les évènements qui vont se dérouler dans la vie de Naho lors des prochains mois, lui indiquant même comment elle doit se comporter. Mais Naho, a bien du mal à y croire, à cette histoire… Et de toute façon, elle manque bien trop d'assurance en elle pour suivre certaines directives indiquées dans ce curieux courrier. Pour le moment, la seule chose dont elle est sûre, c'est que Kakeru, le nouvel élève de la classe, ne la laisse pas indifférent… (Source : Akata)Pourquoi ce choix ?
Orange est un manga bouleversant. La période adolescente peut être compliquée à vivre et sujette à de vives émotions. Le manga aborde des thèmes forts : la mort, le doute, la culpabilité, le deuil, les premiers sentiments, les erreurs, les regrets, etc. tout en finesse. Les protagonistes qui expérimentent cette réalité et toutes ces émotions sont tous touchants. En abordant tous ces sujets, la mangaka crée aussi histoire de voyage dans le temps passionnante. Pouvoir influencer un futur apporte des questions et des espoirs qui sont parfaitement répondus dans une narration maîtrisée. Les illustrations sont rondes et douces, principalement concentrées sur les visages des personnages, permettant ainsi de ressentir leurs émotions.
Adultes (30 ans et +)
Le pavillon des hommes (Fumi Yoshinaga)
De quoi ça parle ?
A l’ère d’Edo, le Japon est frappé par une mystérieuse maladie. Elle ne touche que les hommes et elle est incurable. La population masculine se met alors à décroître dangereusement. Les hommes deviennent une denrée rare et précieuse. Pour pallier au manque cruel de main d’oeuvre masculine, les femmes sont obligées de mettre la main à la pâte et de remplacer les hommes dans toutes les tâches du quotidien. Le shôgun n’échappe pas à cette règle. C’est désormais une femme qui est à la tête du pays ! Elle dispose d’un pavillon spécial où 800 hommes sont à sa disposition. C’est le comble du luxe dans cette société composée en grande majorité de femmes. (Source : Carolus)Pourquoi ce choix ?
Luttes pour le pouvoir, intrigues, humour, avec des soupçons de romances : tous les ingrédients d’une bonne série sont là. Le pavillon des hommes est un huis-clos haletant, qui nous plonge dans un Japon d’Edo sublimé par Fumi Yoshinaga. On se passionne pour l’aventure de Mizuno, déterminé à gravir les échelons du pouvoir. On est fasciné par le charisme de Yoshimune, nouvelle shogun à l’esprit visionnaire. Le trait de la mangaka, sublime, nous peint un palais shogunal plein de luxe et de charme. Mais tout ce qui brille n’est pas de l’or. Le Pavillon des hommes lève le voile sur les travers de nos sociétés actuelles. Un sans faute pour Fumi Yoshinaga !
Perfect world (Rie Aruga)
De quoi ça parle ?
Tsugumi, à 26 ans, travaille au sein d'une entreprise de design d'intérieur. Un soir, lors d'une soirée de travail, quelle est sa surprise de retrouver autour de la table Ayukawa, son amour de lycée ! Mais depuis la fin de leurs études, le jeune homme, impliqué dans un accident, est en fauteuil roulant. Certaine que jamais elle n'aura la force (et l'envie) de fréquenter un homme "au corps amoindri", la jeune femme va pourtant sentir quelque chose bouger en elle… (Source : Akata)Pourquoi ce choix ?
On assiste, depuis quelques années, à une prise de conscience. Pourquoi toujours les mêmes héroïnes et héros ? Avec Perfect World, Rie Aruga donne la parole aux héros du quotidien. Hayukawa et Tsugumi font face au monde ingrat et hypocrite, incapable de reconnaître que le handicap ne bloque, ni les élans du cœur, ni les ambitions. Hayukawa est un modèle de résilience. Il avance malgré la souffrance. Son fauteuil n’est pas un frein, mais un moteur. Dommage : Tsugumi reste trop souvent dans le carcan de l’héroïne fragile qu’il faut protéger. Ceci ne gêne heureusement pas la lecture – d’autant que Tsugumi gagne en maturité avec le temps. Perfect World est de ces titres qui nous inspirent. Il y aura toujours un lendemain heureux.
Les articles des autres blogs
Tu peux découvrir les avis des autres participants à l’édition en cliquant sur les liens suivants. Un grand merci à chacun d’entre eux de s’être prêtés au jeu !
- L’Antre de la louve – Semaine du shôjo édition 2020 : « Quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ? »
- L’Antre du Boiteux – Semaine du Shojo : « Quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ? »
- Le blog de l’apprenti Otaku – La Semaine du Shojo 2020 : Quel shojo conseiller à un débutant ?
- Book-trotter – [SEMAINE DU SHOJO 2020] « Quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ? »
- Bright Open World – Semaine du shôjo
- Le Chapelier Fou – La Semaine du Shôjo 2020 – Quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ?
- Heaven Manga – La semaine du shôjo 2020
- Les lectures du Kitsune – La semaine du Shôjo – Quel Shôjo conseiller à un néophyte ?
- Ma petite Médiathèque – Semaine shôjo 2020 : quel shôjo conseiller à un débutant
- Mirrors – [Manga] La Semaine du shôjo 2020 : quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ?
- Miyuneko – La Semaine du shôjo : par quel shôjo débuter ?
- Moonyko – La semaine du Shojo
- Royaume des histoires – Semaine du shôjo 2020 : quel manga lire pour débuter ?
- Seventh
- Shiawase – Sujet Annexe #6 : quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ?
Cet article faisant très sensiblement écho à l’une de nos publications précédentes sur comment bien débuter dans le shôjo, nous avons pris le parti de propulser d’autres mangas que ceux cités dedans, à deux exceptions près. Nous t’invitons fortement à le lire si tu souhaites assouvir ta découverte en matière de shôjo.
Et toi, quel shôjo conseillerais-tu à un débutant ?
très bonne idée d’avoir accès les conseils en fonction de l’âge, en écrivant mon article je me suis rendue compte que je m’adressais pour ma part seulement au lecteurs de mon âge, mais comme j’étais partie sur une autres piste (essayer de convaincre les lecteur de BD a se lancer dans la manga) je suis reste sur une seule tranche d’âge.
Je pique ici quelques idées lectures, notamment Perfect world
On s’est beaucoup posé la question sur la façon dont on voulait aborder notre article. On avait pensé à faire une classification selon les genres/thématiques, qui peut paraître pertinente elle aussi. Certains sujets nous intéressent plus que d’autres ou nous parlent davantage. Ça peut être un excellent moyen, pour quelqu’un qui ne connaît pas trop le shôjo de s’y intéresser et voir qu’il y a autre chose que de la romance lycéenne.
En tout cas, j’ai en effet pu constater que tes abonnés étaient plus intéressés par la BD mais boudaient le manga. Du coup, c’est super intéressant d’aborder le sujet de cette façon. ^^
Dans la tranche d’âge des trentenaires et plus on avait envie de parler de Tokyo tarareba musume mais celui-ci ne sort que plus tard cette année mais il y a pléthore de shôjo adaptés à cette frange du lectorat 😀
Comme bidib, j’aime l’idée de classer les recommandations en fonction de l’âge du lectorat (ça renvoie un peu au principe de prépublication japonais) ^^
Il y a pas mal de titres que je n’ai pas testés dans cette liste, par contre j’avais lu le tome 1 du Pavillon des Hommes que j’avais apprécié pour son approche originale (un shôjo uchronique, ce n’est pas si courant), il faut que je continue cette série !
En tout cas, merci d’avoir organisé cet événement et de m’avoir invitée à y prendre part ! Pour moi qui ne suis pas une habituée du genre c’était un bon exercice xD
Oui tu as tout à fait raison. ^^ Et puis le shôjo est tellement varié qu’il ratisse très large. Certains shôjo plairont plus à certains âges par rapport à d’autres.
C’est drôle que tu parles du tome 1 du Pavillon des hommes, je viens tout juste de le lire. En effet, son approche est très originale et sous le prétexte de changer les rôles elle pose la question de la place de la femme dans la société.
Merci à toi d’avoir pris part à notre événement. Ton article était super à lire. ^^ C’est vrai que ça fait aussi un petit challenge en soi.